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L'Énigme de l'Atlantide book cover
L'Énigme de l'Atlantide
1955
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En vacances dans l'archipel des Açores, le professeur Mortimer fait une stupéfiante découverte. Lors de l'exploration d'un gouffre nommé " O foro do diabo " (le trou du diable), il trouve un métal inconnu aux étonnantes propriétés radioactive et luminescente. Il ne peut s'empêcher de penser à l'orichalque, ce mystérieux métal que les Atlantes, dans le récit de Platon, estimaient aussi précieux que l'or. La découverte est suffisamment importante pour qu'il prévienne son ami, le capitaine Blake. Ce dernier vient le rejoindre à Saõ Miguel et les événements se précipitent. Quelqu'un dérobe le spécimen que Mortimer avait laissé dans sa villa. Blake et lui n'ont que le temps de voir un étrange engin traverser l'espace à la vitesse de l'éclair, disparaissant dans la nuit. De plus en plus intrigués, les deux hommes décident de refaire une expédition au " Foro do diabo " pour y retrouver des échantillons. Ils sont accompagnés d'un guide, Pépé et de son assistant sous les traits duquel se cache l'aventurier Olrik, leur plus mortel ennemi. Ce dernier a été embauché par une puissance étrangère pour récupérer le précieux minerai. La descente dans les dangereuses caldeiras commence. Cette plongée dans les entrailles de la terre va les amener à vivre leur plus extraordinaire aventure. Élucidant un mystère vieux de plusieurs siècles, ils partiront à la découverte de l'Atlantide, de son peuple et de ses ennemis, exploreront le continent perdu et risqueront leurs vies pour sauvegarder la paix dans l'Empire Atlante. Ils braveront mille dangers pour revenir vers notre monde où l'Atlantide reste une énigme irrésolue... Le moindre de ces dangers n'étant pas Olrik...
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Edgar P. Jacobs
Edgar P. Jacobs
Author · 11 books

(aka E.P. Jacobs) Edgar Pierre Jacobs naît le 30 mars 1904 à Bruxelles. Il se passionne très tôt pour le dessin et la musique. Après avoir exercé quelques petits métiers, il travaille dans la publicité. Parallèlement, à partir de 1921, il devient figurant au Théâtre Royal de la monnaie à Bruxelles. Le 25 août 1922, le futur chanteur d'opéra signe son premier contrat d'artiste aux cotés de Mistinguett pour la Grande Revue du Casino de Paris. Le 29 août 1929, le baryton reçoit le premier grand prix de chant. Il sera engagé juste après, comme artiste lyrique, à l'opéra de Lille. En 1940, il doit abandonner la scène, à cause de la seconde guerre mondiale, chose qu'il regrettera toute sa vie. Le "baryton du neuvième art" allait dès lors s'illustrer dans des travaux graphiques alimentaires (publicité, catalogues, presse) qui le mèneraient à d'autres "planches", celles de la Bande Dessinée, dérisoires à ses yeux, qui pourtant lui assureraient une gloire de diva. En 1941, il entre au journal "Bravo". Après quelques illustrations pour divers contes, nouvelles et romans, il se voit confier, en 1942, la reprise de "Flash Gordon", cette saga américaine dessinée par Alex Raymond ne parvenant plus en Belgique. Il s'en acquitte avec bonheur mais la censure allemande interdit la série quelques semaines plus tard. En 1943, Jacobs élabore une nouvelle bande dessinée de science-fiction intitulée "Le Rayon U". Jusqu'en juillet 1946, il collabore à "Bravo". Entre-temps, il fait la connaissance d'Hergé. Ce dernier lui confie, à partir de 1944, la mise en couleur et les décors de ses albums. Il entreprend des corrections, des remises au format et les coloriages de "Tintin au Congo", de "Tintin en Amérique", du "Sceptre d'Ottokar" et du "Lotus Bleu". Il travaille également sur le "Trésor de Rackham le Rouge", les "Sept Boules de Cristal" et le "Temple du Soleil". Cette collaboration liera les deux hommes d'une profonde (et rivale) amitié qui culmine au lendemain de la guerre lorsque Jacobs n'hésite pas à jouer du gourdin pour défendre Hergé contre les épurateurs d'une autre espèce de "collaboration". En septembre 1946, Hergé invite son compère à participer au lancement du journal "Tintin". Le 26 septembre de cette année-là, dans un numéro 1 aujourd'hui recherché comme une pièce de trésor, paraît la première page du "Secret de l'Espadon". L'aventure de nos trois immortels héros : Blake (inspiré par son grand ami Jacques Laudy), Mortimer (inspiré par son autre grand ami Jacques Van Melkebeke) et Olrik (inspiré de Jacobs lui-même) commence. Ce dernier, colonel et gangster à monocle, est l'incombustible prince du mal que combattent deux chevaliers de l'ordre historique et scientifique : l'émérite capitaine d'aviation Francis Percy Blake, chef du "MI5", blond et flegmatique Gallois, et son "good old fellow", le professeur Philip Edgar Angus Mortimer, bouillant barbu rouquin (né aux Indes), spécialiste de physique nucléaire tout autant que de biologie moléculaire. En 1947, Jacobs abandonne sa collaboration avec Hergé et se consacre dès lors de manière quasi-exclusive à sa propre série où il fait vivre de multiples et périlleuses aventures à ses very British Héros. Après avoir gagné, grâce à l'Espadon (un sous-marin volant révolutionnaire), la troisième guerre mondiale menée par le diabolique colonel pour le compte des Jaunes (Hiroshima, en 1946, n'est pas encore un remords ...), Blake et Mortimer ne perceront "Le Mystère de la Grande Pyramide" (début de la parution le 24 mars 1950) qu'après un nouvel affrontement, en Egypte, avec Olrik,... qui s'en sortira, forcément, mais si déglingué qu'il deviendra l'esclave téléguidé d'un savant fou dans "La Marque Jaune" (début de la parution le 6 août 1953), semant la terreur dans Londres, où veillent heureusement Blake et Mortimer. Ces derniers ne laisseront échapper leur ennemi préféré que pour mi

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